mercredi 24 février 2010

Samedi 21 & dimanche 22 février

Le samedi matin, les artistes-stagiaires racontent l’un après l’autre un cauchemar de leur enfance. Fabrice travaillera ces cauchemars tout au long de l’atelier. Pendant l’après midi, les stagiaires sont libres. Ils décident de regarder « Le chagrin des Ogres » une deuxième fois.





Dimanche, jour de repos. Mais pas sans avoir fait les tâches domestiques. On partage le boulot. Les filles préparent le repas et lavent le linge. Entretemps, le hommes ne s’asseoient pas devant la télé en regardant le football (comme on le voit trop souvent ici au Sénégal mais aussi en Belgique) mais ils nettoient la maison. Les stagiaires de FOTTI ont l’air de ne pas seulement vouloir renouveler les arts de la scène sénégalaises mais aussi d’enchainer une nouvelle vague du féminisme. Après avoir mangé un plat de « c’est bon » qui était vraiment très bon, les stagiaires s’endorment comme des bébés. La sieste leur fait du bien et le soir les artistes-stagiaires lisent les livres qu’ils ont emporté de la bibliothèque de FOTTI.


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